Traversée Calenzana-Vizavone, juin 1997.
Cette traversée éprouvante, lorsqu’on l’effectue en autonomie totale, réserve des coups d’oeil somptueux sur les montagnes et la mer. Elle constitue un passage obligé pour tout randonneur qui se respecte. Pour la bonne raison qu’il faudra alors mettre en oeuvre son sens de l’itinéraire ( le mauvais temps et le brouillard peuvent y être redoutables ) sa détermination ( beaucoup abandonnent en chemin ) et sa faculté de se serrer la ceinture ; ravitaillement aléatoire et cher (enfin…à l’époque, c’était comme ça ) . Réserver 2 ou 3 jours mini en fin de parcours pour aller faire trempette. C’est fabuleux.
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